Le Grand tournois du Printemps 1/3

Le Grand tournois du Printemps 1/3 :

Sur la route du KönigReïk… avec mes poteaux…

scénario FudgeQuest, par DD, joué le Jeudi 21 avril 2005.

Distribution :
Vaudron, érudit et aventurier (Guillaume)… qui veut apprendre à contrôler sa magie
Essen Tiries, marchand/mage (Stéphane)… qui à des affaires à traiter
Ollon, fort de foire et aventurier (David)… qui a une mission secrète
Barmack, chevalier de Corvillia (Xavier)… qui a un cadeau officiel
Sir Armand, chevalier errant (Ludo)… qui porte le deuil paternel

Faisant route ensemble vers Kreuz en KönigReik, nos amis s’arrêtent en passant sur les terres de Valder (Sir Armand est un le troisième fils du seigneur de Valder)
Là son frère aîné, en charge depuis longtemps des affaires, semble en vouloir à son benjamin, alors que le cadet (presque aussi carré qu’Armand) semble plus content. Un quiproquo amène Le Seigneur de Valder à croire qu’Essen Tiries veut extorquer de l’argent déjà payé à son frère*. Armand semble s’y laisser prendre, au point de prévenir ses frères de ce que le marchand est ausssi un magicien, « dont il faut se méfier ».
Essen se retrouve donc à devoir s’expliquer devant les trois frères, quand ses amis s’aperçoivent que deux arbalétriers le tiennent en joue, mal dissimulés par des tentures ! Ollon et Barmack s’interposent, le ton monte et Barmack se voit provoqué en duel par le cadet (pour venger l’honneur aisément insulté de l’aîné) Sir Armand, lui, reste curieusement silencieux.
Le duel tourne mal, car si le cadet est très costaud et se bat bien, Barmack est une force de la nature et est un vétéran entraîné à l’escrime par les FondVal. Blessé, une clavicule cassée, le cadet doit finalement se rendre. Nos amis sont alors invité à rester la nuit, hospitalité oblige… mais pas plus.
Il préfèrent partir aussitôt, mais ils s’attardent pour discuter sur de la route et des mesures à prendre à la sortie du village, près des taudis des réprouvés, ou ils sont rejoint par Sir Armand ! Cela fait durer la discussion, vite interrompue par l’arrivée d’une troupe à cheval et au galop… (trois jeunes chevaliers et deux hommes d’armes) Peu désireux de rencontrer les nouveaux venus en terrain découvert, Vaudron et Essen Tiries se cachent dans une chaumière miséreuse, pendant qu’Ollon et Barmack s’embusquent derrière des taudis branlants. Sir Armand tente mollement et vainement de convaincre les hommes de Valder, ses féaux, de ne pas attaquer les étrangers. Un des gardes est cueilli par l’arbalète du Barmack, l’autre cherche ceux qui sont cachés, Barmack se bat à pied contre un des chevalier alors que l’autre est enseveli sous un baraque branlante poussée par Ollon. Le dernier chevalier sera assommé par Ollon a coup de tronc d’arbre, avant que Barmack ne tue son adversaire… et le dernier soldat qui s’enfuit.
Nos amis décident alors de partir eux aussi au plus vite, toujours avec Sir Armand à leur basques. L’alarme retenti vite et prenant par les bois, ils doivent abandonner leur monture…
Sir Armand ne se résout pas à laisser son cheval de guerre, mais les chien blessent le vaillant destrier, et c’est à pied qu’il affronte un garde qui tente de l’assommer sans succès, puis son frère., appuyé de lances. Acculé, blessé, il fini par être assommé par son aîné qui profite d’un moment d’inattention.
A pied en forêt, le reste de la troupe doit affronter les chiens et un archer de pointe. Barmack s’en tire avec une flèche plantée dans une épaulière, et des mailles défaites par les dents, l’archer est assommé, et un peu plus tard nos amis tombent sur deux braconniers qui les guident vers les terres du seigneur voisin. Là il tombent sur une ruine ou un vieux fou qui se dit seigneur de Noir-Buis, se comporte comme tel, se montrant très protecteur pour sa fille (Ollon découvre qu’elle est enterrée dans les ruines) Leurs poursuivants arrivent sur ces entrefaites, et le « seigneur » vas seul à leur rencontre (ils entendent des cris d’agonie au loin, puis une exclamation «il lui a coupé la tête», le bruit de fuites et la voix de l’ainé des Valder qui tente sans succès de rallier ses hommes.
Le lendemain à l’aube, nos amis, plus ou moins privés de sommeil, sont conduit par leur étrange hôte jusqu’à la grand route par des pistes discrètes…

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